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Transformons la violence en énergie positive

J’observe à travers les médias l’augmentation de la violence, l’agressivité, l’aigreur de certaines personnes.

Peut-être suis-je utopique… mais je n’arrive pas à me dire qu’il n’y a rien à faire.

 

De nombreuses raisons peuvent les amener à se sentir mal : un pouvoir d’achat en baisse, un patron toxique, un contexte familial nuisible, l’éco-anxiété liée à l’urgence climatique … Est-ce la faute des parents, du gouvernement, de l’employeur, de la mondialisation… ?

 

Quelles que soient les causes, je veux croire que notre libre-arbitre peut nous aider à changer la donne.

Saviez-vous quel est le secret des personnes qui présentent la plus forte longévité ? D’après les études, elles cumulent 3 atouts :

  • elles font de l’activité physique
  • elles sont entourées (des bonnes personnes)
  • elles ont des projets

 

Cela pourrait-il être un début de piste ?

Faire du sport

BOUGER SON CORPS

Quand on va mal et qu’on en a la possibilité physique, la première chose à faire, c’est du sport.

Marcher, courir, pratiquer des arts martiaux, de la danse… bouger fait du bien à son corps, à son coeur et à sa tête, et à son coeur. Impossible de se lancer en revanche, si l’activité ou la discipline choisie ne nous fait pas envie.

J’en veux pour preuve le nombre d’élèves qui se font dispenser de sport à l’école. Ce n’est sans doute pas parce qu’ils ne veulent rien faire, mais parce que les activités imposées ne correspondent pas à leurs centres d’intérêt (voire, les amènent à avoir une mauvaise image d’eux-mêmes, lorsqu’ils n’atteignent pas les objectifs attendus).

J’ai découvert les cours de « Fit’athlétisme » sur le tard (45 ans !) et je dois dire que même si la course était loin de me séduire au début, le fait de pratiquer ce sport en groupe, avec des amis, de nettoyer et réoxygéner mon corps tout en discutant, m’a donné le goût de cet effort aux récompenses multiples : meilleur moral et meilleure santé en premier lieu.

S’occuper de son corps est un premier pas pour éloigner l’anxiété, l’aigreur, la colère, la violence.

 

 

savoir ou aller

Savoir où aller

Quand on ne se connaît pas et qu’on ne sait pas où aller, on est perdu.

Ce qui peut rendre agressif, mais aussi, pour certains, nonchalant, désengagé, voire, envieux.

J’évoque souvent la notion de « projet ». Je suis très marquée par cette phrase de Thierry Marx : « Celui qui n’a pas de projet est un ennemi pour lui-même ».
Avoir une ligne d’horizon, un but, qui sont déterminés par nos envies profondes et en lien avec ce qui nous nourrit intérieurement, est à mon sens une clé essentielle à notre bonheur.

Je constate à quel point les jeunes manquent d’informations claires et personnalisées pour émettre leurs choix de métiers (et donc d’études, et de spécialités).
Il nous arrive de suivre en bilans de compétences Grand Bain des jeunes de 26-28 ans. Certains ont suivi des études supérieures (parfois longues et coûteuses) qui ne leur correspondaient pas, et leur première expérience professionnelle décevante a même pu faire baisser leur estime d’eux-mêmes.

Il n’est pas toujours aisé de se poser ces questions de fond : Qui suis-je ? Quels sont mes talents ? Qu’est-ce qui me donne de l’énergie ? Quelle action ? Dans quel secteur d’activité cette action pourrait-elle m’épanouir le plus ?

Cela nécessite du courage, un minimum de réflexion, et un travail sur soi.
Ce fameux « saut dans le vide » qui nous a donné envie de baptiser notre méthode, en 2017, « Le Grand Bain ». 
Car il n’est pas si simple de réussir à sauter dans le vide, une fois au bout du plongeoir.

Le fait de ne pas être heureux dans son travail n’est pas toujours une question d’orientation : on peut tout à fait aimer son métier, et pas ce qui l’entoure. Tout l’environnement est à questionner : les valeurs de nos collègues ou patrons, les conditions de travail, le temps de trajet, le manque de considération, la charge de travail, les problèmes de harcèlement…

Le courage réside alors dans notre capacité à accepter l’idée de dire stop, pour aller vers un environnement qui nous conviendrait mieux. Ce qui signifie, renoncer à une routine que certains imaginent « pas si grave », quitter un confort devenu toxique (mais rassurant).

Cette situation n’est pas beaucoup plus simple que d’envisager une reconversion. Car il va malgré tout falloir refaire ses preuves, découvrir de nouveaux collègues, comprendre le mode de fonctionnement d’un nouveau patron.
Ou encore de faire un saut encore plus grand en se lançant à son compte : aller chercher des clients, gagner moins d’argent au début, prendre des risques en empruntant…

Mais tous ces bouleversements nécessaires (changer de métier, changer d’entreprise, créer sa boîte) ont le mérite de nous amener à tendre vers l’épanouissement.

Confucius disait : « Choisis un travail que tu aimes, et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie ».

 

Oui, le travail permet de s’accomplir en tant qu’être humain.


Mais uniquement si ce travail vient alimenter notre raison d’être, ce pour quoi nous sommes sur terre, notre contribution au monde.
Et uniquement si ce travail est pratiqué dans des conditions agréables, pour le compte d’individus sains, qui nous renvoient un feedback positif.

Alors, oui, le travail nous fera grandir. Nous accomplirons des tâches qui nous rempliront de bonheur, des actions qui viendront nourrir nos besoins intérieurs (aider, divertir, inspirer, former, créer, produire, soigner, chercher, assister…), nous serons encouragés, félicités, remerciés, pour les bénéfices que ces actions apportent aux autres.

Plus nous accomplirons une tâche que nous maitrisons, plus nous serons compétents, plus notre confiance en nous augmentera.

Et lorsque l’on a confiance en soi, on n’a plus peur. On n’en veut plus aux autres pour ce qu’ils ont fait ou pas fait pour nous. Car on sait que notre valeur et notre courage nous permettront toujours de nous en sortir. Que si quelque-chose ne nous plait plus, on aura le pouvoir de décider de changer. Et la capacité d’y arriver.

s'entourer des bonnes personnes

S’entourer des bonnes personnes

Le travail comme le sport permettent les rencontres. Car le lien social se tisse plus facilement dans l’action.

Si nous partageons des centres d’intérêts (pratiquer la boxe ensemble, travailler en équipe dans un secteur d’activité qui nous passionne), il est fort probable que nous ayons envie de prolonger la rencontre. Afin de vivre des moments d’exception avec ces personnes qui nous ressemblent ou qui nous complètent : rire, jouer, voyager, fêter, consoler…

A moins d’avoir un profil de personnalité très retiré, il est extrêmement rare de s’épanouir sans entretenir de liens avec les autres.

Partager ses joies et ses peines, se confier, s’apporter des conseils mutuellement, des idées, des contacts, savoir que l’on compte pour les personnes chères à notre coeur, sont des éléments essentiels pour avancer avec confiance dans la vie.

 

Je formule le voeux que chacun ait envie de changer le cours de sa vie lorsqu’il se sent agressif ou malheureux, que des mains se tendent pour l’aider à se poser les bonnes questions, pour lui proposer un nouveau job vraiment fait pour lui, pour l’inviter à passer de bons moments avec de jolies personnes.

Alors, la terre tournera plus rond. 

 

A bientôt,


Sophie

Sophie Palacios

A propos de Sophie Palacios

Passionnée par l’humain, Sophie a démarré son parcours dans les RH, d’abord sur Paris, puis sur Nice, autour de ses sujets de prédilection : Recrutement, Formation, Orientation professionnelle, Conseil aux entreprises.

Après une expérience de 20 ans en tant que salariée dans des secteurs d’activité variés (BTP, Services Informatiques, Agro-alimentaire, Services Consulaires, Agence pour l’Emploi des cadres…), elle décide de lancer sa propre activité en 2012.

Dès 2017, après 2 ans de R&D, Sophie propose la première plateforme de bilan de compétences à distance avec la méthode à 360° « Le Grand Bain » et créée son cabinet, ABP Talents, qui est résolument tourné vers l’innovation RH. Son département « Recrutement » milite en faveur du recrutement basé sur le potentiel et la motivation (faire confiance, prendre de la distance avec les diplômes et les expériences copiées-collées »).

Très engagée dans l’orientation des Jeunes et l’emploi des Seniors, elle fait évoluer ses outils en permanence afin de s’adapter à chaque génération et au monde qui nous entoure, en intégrant un questionnement sur notre impact environnemental et sociétal dans nos choix de métiers et d’entreprises.

Le travail est à ses yeux une source d’épanouissement majeure des individus. Il se doit d’être pensé et abordé en fonction de notre personnalité, de nos moteurs et du sens que nous souhaitons donner à notre présence sur terre. 

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Transformons la violence en énergie positive

Transformons la violence en énergie positive

J’observe à travers les médias l’augmentation de la violence, l’agressivité, l’aigreur de certaines personnes.

Peut-être suis-je utopique… mais je n’arrive pas à me dire qu’il n’y a rien à faire.

 

De nombreuses raisons peuvent les amener à se sentir mal : un pouvoir d’achat en baisse, un patron toxique, un contexte familial nuisible, l’éco-anxiété liée à l’urgence climatique … Est-ce la faute des parents, du gouvernement, de l’employeur, de la mondialisation… ?

 

Quelles que soient les causes, je veux croire que notre libre-arbitre peut nous aider à changer la donne.

Saviez-vous quel est le secret des personnes qui présentent la plus forte longévité ? D’après les études, elles cumulent 3 atouts :

  • elles font de l’activité physique
  • elles sont entourées (des bonnes personnes)
  • elles ont des projets

 

Cela pourrait-il être un début de piste ?

Faire du sport

BOUGER SON CORPS

Quand on va mal et qu’on en a la possibilité physique, la première chose à faire, c’est du sport.

Marcher, courir, pratiquer des arts martiaux, de la danse… bouger fait du bien à son corps, à son coeur et à sa tête, et à son coeur. Impossible de se lancer en revanche, si l’activité ou la discipline choisie ne nous fait pas envie.

J’en veux pour preuve le nombre d’élèves qui se font dispenser de sport à l’école. Ce n’est sans doute pas parce qu’ils ne veulent rien faire, mais parce que les activités imposées ne correspondent pas à leurs centres d’intérêt (voire, les amènent à avoir une mauvaise image d’eux-mêmes, lorsqu’ils n’atteignent pas les objectifs attendus).

J’ai découvert les cours de « Fit’athlétisme » sur le tard (45 ans !) et je dois dire que même si la course était loin de me séduire au début, le fait de pratiquer ce sport en groupe, avec des amis, de nettoyer et réoxygéner mon corps tout en discutant, m’a donné le goût de cet effort aux récompenses multiples : meilleur moral et meilleure santé en premier lieu.

S’occuper de son corps est un premier pas pour éloigner l’anxiété, l’aigreur, la colère, la violence.

 

 

savoir ou aller

Savoir où aller

Quand on ne se connaît pas et qu’on ne sait pas où aller, on est perdu.

Ce qui peut rendre agressif, mais aussi, pour certains, nonchalant, désengagé, voire, envieux.

J’évoque souvent la notion de « projet ». Je suis très marquée par cette phrase de Thierry Marx : « Celui qui n’a pas de projet est un ennemi pour lui-même ».
Avoir une ligne d’horizon, un but, qui sont déterminés par nos envies profondes et en lien avec ce qui nous nourrit intérieurement, est à mon sens une clé essentielle à notre bonheur.

Je constate à quel point les jeunes manquent d’informations claires et personnalisées pour émettre leurs choix de métiers (et donc d’études, et de spécialités).
Il nous arrive de suivre en bilans de compétences Grand Bain des jeunes de 26-28 ans. Certains ont suivi des études supérieures (parfois longues et coûteuses) qui ne leur correspondaient pas, et leur première expérience professionnelle décevante a même pu faire baisser leur estime d’eux-mêmes.

Il n’est pas toujours aisé de se poser ces questions de fond : Qui suis-je ? Quels sont mes talents ? Qu’est-ce qui me donne de l’énergie ? Quelle action ? Dans quel secteur d’activité cette action pourrait-elle m’épanouir le plus ?

Cela nécessite du courage, un minimum de réflexion, et un travail sur soi.
Ce fameux « saut dans le vide » qui nous a donné envie de baptiser notre méthode, en 2017, « Le Grand Bain ». 
Car il n’est pas si simple de réussir à sauter dans le vide, une fois au bout du plongeoir.

Le fait de ne pas être heureux dans son travail n’est pas toujours une question d’orientation : on peut tout à fait aimer son métier, et pas ce qui l’entoure. Tout l’environnement est à questionner : les valeurs de nos collègues ou patrons, les conditions de travail, le temps de trajet, le manque de considération, la charge de travail, les problèmes de harcèlement…

Le courage réside alors dans notre capacité à accepter l’idée de dire stop, pour aller vers un environnement qui nous conviendrait mieux. Ce qui signifie, renoncer à une routine que certains imaginent « pas si grave », quitter un confort devenu toxique (mais rassurant).

Cette situation n’est pas beaucoup plus simple que d’envisager une reconversion. Car il va malgré tout falloir refaire ses preuves, découvrir de nouveaux collègues, comprendre le mode de fonctionnement d’un nouveau patron.
Ou encore de faire un saut encore plus grand en se lançant à son compte : aller chercher des clients, gagner moins d’argent au début, prendre des risques en empruntant…

Mais tous ces bouleversements nécessaires (changer de métier, changer d’entreprise, créer sa boîte) ont le mérite de nous amener à tendre vers l’épanouissement.

Confucius disait : « Choisis un travail que tu aimes, et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie ».

 

Oui, le travail permet de s’accomplir en tant qu’être humain.

Mais uniquement si ce travail vient alimenter notre raison d’être, ce pour quoi nous sommes sur terre, notre contribution au monde.
Et uniquement si ce travail est pratiqué dans des conditions agréables, pour le compte d’individus sains, qui nous renvoient un feedback positif.

Alors, oui, le travail nous fera grandir. Nous accomplirons des tâches qui nous rempliront de bonheur, des actions qui viendront nourrir nos besoins intérieurs (aider, divertir, inspirer, former, créer, produire, soigner, chercher, assister…), nous serons encouragés, félicités, remerciés, pour les bénéfices que ces actions apportent aux autres.

Plus nous accomplirons une tâche que nous maitrisons, plus nous serons compétents, plus notre confiance en nous augmentera.

Et lorsque l’on a confiance en soi, on n’a plus peur. On n’en veut plus aux autres pour ce qu’ils ont fait ou pas fait pour nous. Car on sait que notre valeur et notre courage nous permettront toujours de nous en sortir. Que si quelque-chose ne nous plait plus, on aura le pouvoir de décider de changer. Et la capacité d’y arriver.

s'entourer des bonnes personnes

S’entourer des bonnes personnes

Le travail comme le sport permettent les rencontres. Car le lien social se tisse plus facilement dans l’action.

Si nous partageons des centres d’intérêts (pratiquer la boxe ensemble, travailler en équipe dans un secteur d’activité qui nous passionne), il est fort probable que nous ayons envie de prolonger la rencontre. Afin de vivre des moments d’exception avec ces personnes qui nous ressemblent ou qui nous complètent : rire, jouer, voyager, fêter, consoler…

A moins d’avoir un profil de personnalité très retiré, il est extrêmement rare de s’épanouir sans entretenir de liens avec les autres.

Partager ses joies et ses peines, se confier, s’apporter des conseils mutuellement, des idées, des contacts, savoir que l’on compte pour les personnes chères à notre coeur, sont des éléments essentiels pour avancer avec confiance dans la vie.

 

Je formule le voeux que chacun ait envie de changer le cours de sa vie lorsqu’il se sent agressif ou malheureux, que des mains se tendent pour l’aider à se poser les bonnes questions, pour lui proposer un nouveau job vraiment fait pour lui, pour l’inviter à passer de bons moments avec de jolies personnes.

Alors, la terre tournera plus rond. 

 

A bientôt,

Sophie

Sophie Palacios

A propos de Sophie Palacios

Passionnée par l’humain, Sophie a démarré son parcours dans les RH, d’abord sur Paris, puis sur Nice, autour de ses sujets de prédilection : Recrutement, Formation, Orientation professionnelle, Conseil aux entreprises.

Après une expérience de 20 ans en tant que salariée dans des secteurs d’activité variés (BTP, Services Informatiques, Agro-alimentaire, Services Consulaires, Agence pour l’Emploi des cadres…), elle décide de lancer sa propre activité en 2012.

Dès 2017, après 2 ans de R&D, Sophie propose la première plateforme de bilan de compétences à distance avec la méthode à 360° « Le Grand Bain » et créée son cabinet, ABP Talents, qui est résolument tourné vers l’innovation RH. Son département « Recrutement » milite en faveur du recrutement basé sur le potentiel et la motivation (faire confiance, prendre de la distance avec les diplômes et les expériences copiées-collées »).

Très engagée dans l’orientation des Jeunes et l’emploi des Seniors, elle fait évoluer ses outils en permanence afin de s’adapter à chaque génération et au monde qui nous entoure, en intégrant un questionnement sur notre impact environnemental et sociétal dans nos choix de métiers et d’entreprises.

Le travail est à ses yeux une source d’épanouissement majeure des individus. Il se doit d’être pensé et abordé en fonction de notre personnalité, de nos moteurs et du sens que nous souhaitons donner à notre présence sur terre. 

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